Projections au CINEMA en 2016
Sélectionné au Prix Farel :
samedi 22 octobre 2016 à 9h30 au Ciné Bio de Neuchatel (Suisse)
Mardi 5 et 12 janvier 2016 à 20h au Lucernaire, 53 rue Notre-Dame des Champs, Paris 6è
Diffusions en 2016 :
sur la RTS (Suisse):
dimanche 14 aout 2016
SYNOPSIS
La mort, cette inconnue !?
Réfléchir à la mort, à sa mort et à celle de ses proches, de manière posée, pour l'apprivoiser et essayer de l'accepter …
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Le père Henry de Villefranche parle de la mort avec de jeune enfants |
PRESENTATION
Quelle place donner à la mort pour redécouvrir le sens de la vie ?
Nous vivons comme si nous ne devions jamais mourir ! Nous mourons comme si nous n’avions rien vécu !
La mort nous est devenue étrangère, cachée derrière les murs des cimetières, des hôpitaux, des funérariums. La mort nous fait peur et elle nous fascine également.
Et cette peur de la mort est entretenue par les actualités macabres et anxiogènes dont nous abreuvent les médias, montrant une mort dépersonnalisée et abstraite.
Quand nous perdons un parent, un enfant, un conjoint, ce décès déchirant se charge de nous rappeler la fin de notre toute puissance : nous sommes mortels !
Traité avec la grâce du regard poétique d’une réalisatrice ayant transformé sa vie (au lieu de mourir de chagrin) à la suite de la perte d’un enfant, ce film part à la redécouverte du sens de la vie et de la place de la mort dans notre vie.
Et aborde le lien avec nos chers disparus qui ‘vivent’ en nous pour l’éternité.
La vie est précieuse, unique. La réelle conscience de la mort nous élève, nous permet d’accepter de rester en vie et d’assumer d’être encore plus vivant.
Avec la participation :
du père Henry de Villefranche,
de Fabrice Hadjadj, philosophe à Fribourg,
de Lytta Basset, professeur de théologie en Suisse,
de Philippe Sanson, aumônier d’hôpital,
du dr Jean-Pierre Postel, anesthésiste-réanimateur,
des sachants ayant fréquenté la mort qui apportent un éclairage sur ce sens de la vie car ils abordent la mort comme étant une transformation et non pas une disparition, ils parlent d’amour et non pas de peur, de lien et non pas de fin.