Site internet de Salvatore Adamo (cliquer sur la photo)
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Rediffusion de notre film documentaire sur FRANCE 5:
le lundi 9 janvier 2006 à 14h35
et le samedi 14 janvier 2006 à 23h15.
SYNOPSIS
Portrait intime et actuel sous la forme d’un road-movie du grand chanteur francophone, Salvatore Adamo, à l’occasion de l’enregistrement d’un nouvel album (il est auteur-compositeur de toutes ses chansons) en 2003, année de son soixantième anniversaire et de ses 40 ans de carrière.
Avec la participation de
* Chantal Lauby
* Dominique Farrugia
* Arno
* Toots Thielmans
PRESENTATION DU FILM
Salvatore ADAMO a connu un succès fulgurant durant les années 60; depuis lors le chanteur s’est bâti une renommée internationale à la mesure de son talent : au Japon, en Amérique du Sud en Russie, il est une immense star. Dans notre film, tout en rappelant ses grands succès, nous avons voulu montrer un homme qui est également à l’écoute de notre époque et sensible à tout ce qui s’y passe tant au point de vue social que politique ou culturel.
Salvatore rencontre une jeune femme d’origine italienne comme lui, Giulia, et elle nous sert de fil rouge tout au long de cette histoire qui se déroule comme un road movie. Le film ne comporte pas de commentaire, mais des dialogues entre le chanteur et les personnages qu’il côtoie tout au long de ce documentaire.
La rencontre avec Giulia a lieu à Paris. Nous voyons le chanteur en répétition avec Arno, ils interprètent ensemble « les filles du bord de mer », la version Arno. Curieuse d’assister à une séance de travail en studio, la jeune femme est invitée à une répétition pour le prochain album qu’Adamo prépare avec l’arrangeur bien connu Bertrand Burgalat.
Nous redécouvrons le clip « Laisse mes mains sur tes hanches » qui fait le lien avec une séquence où l’on voit Salvatore en répétition pour le nouveau film de Chantal Lauby et qui s’intitule « Laisse tes mains sur tes hanche ».
Adamo en compagnie Giulia prend la route qu’il empruntait avec son père lors de ses premières tournées en France. Il retrace ainsi son parcours professionnel et évoque ses souvenirs les plus marquants, chaque fois illustrés par des chansons qu’il interprète in situ avec sa guitare ou au travers d’images d’archives, comme sa rencontre avec Georges Brassens.
Nous le voyons à Jérusalem où il nous explique l’espoir d’une paix future qu’il a voulu transmettre au travers de sa chanson « Inch’Allah ».
Salvatore Adamo visite un camp de réfugiés au Kosovo et nous parle de son rôle d’ambassadeur de l’unicef. La chanson « le monde a mal » illustre son propos avec des images émouvantes de la souffrance des peuples qui subissent la guerre.
Adamo nous fait visiter la région minière du Borinage où ses parents immigrent en 1947.
Adamo est aussi un chanteur passionné d’art, de littérature, il a écrit un roman dont certains passages sont lus et évoqués, notamment avec des extraits du très beau film de Paul Meyer sur la vie des mineurs dans le borinage. Plus tard, visite d’une exposition des sculpteurs Niki de Saint Phalle et Pierre Marie Lejeune.
Epilogue, une soirée intime chez Adamo, avec ses amis, Arno et Toots Thielemans, le grand musicien de jazz et de musiques de film avec lequel il interprète la chanson « la vie comme elle passe », titre qui évoque assez bien le ton de ces moments passés avec Salvatore.